samedi 18 novembre 2017

Additif à l'enquête sur LE MYSTERE DE LA RUE DE LA VIGNETTE

- En bon poly-schizophrène Virus Pigloù
se fait parfois appelé Andropoulos
Fantomaspamous.
Maintenant vous
savez tout... Enfin presque ! -


Objet : Le résultat....

....hello tertous !!
................la vôtre au chat !

En fait, et vous vérifierez sur Internenétte, au 21, rue de la Vignette à LILLE, quartier St Sauveur, se trouvait un estaminet, au siège de la Lyre, le café lillois la Liberté, donc rue de la Vignette, d'où Pottier et De Geyter ont sorti la chanson "L’Internationale" *...
Tout le côté impair de cette rue a été rasé (prés de la place Jacquard) ....d'où la photo de la plaque de la rue que je vous avais envoyé.

C'est après avoir vu le film "Au revoir là-haut" (de DUPONTEL) et d'entendre les commémorations de "la guerre 14/18" que je me suis intéressé à ce quartier lillois... (J'avais vécu dans la cour des Brigittines) 

am alias Andropoulos Fantomaspamous
nb : " Je ne suis pas une communiste, Je ne suis pas une cycliste, Je ne suis pas une catholique, Je ne suis pas une footballiste (...) il y a des gens qui parlent beaucoup mais ne disent rien du tout, il y a des gens qui crèvent de faim (...) " -
(TC Matic - "Putain, putain, c'est vachement bien... nous sommes quand même tous des....")


Paroles 
Debout, les damnés de la terre
Debout, les forçats de la faim
La raison tonne en son cratère,
C'est l'éruption de la faim.
Du passé faisons table rase,
Foule esclave, debout, debout
Le monde va changer de base,
Nous ne sommes rien, soyons tout.
Refrain (répété deux fois) 
C'est la lutte finale ;
Groupons nous et demain
L'Internationale
Sera le genre humain.
Il n'est pas de sauveurs suprêmes
Ni Dieu, ni César, ni Tribun,
Producteurs, sauvons-nous nous-mêmes
Décrétons le salut commun.
Pour que le voleur rende gorge,
Pour tirer l'esprit du cachot,
Soufflons nous-mêmes notre forge,
Battons le fer tant qu'il est chaud.
L'État comprime et la Loi triche,
L'impôt saigne le malheureux ;
Nul devoir ne s'impose au riche ;
Le droit du pauvre est un mot creux
C'est assez languir en tutelle,
L'Égalité veut d'autres lois ;
"Pas de droits sans devoirs, dit-elle
Égaux pas de devoirs sans droits."
Hideux dans leur apothéose,
Les rois de la mine et du rail
Ont-ils jamais fait autre chose
Que dévaliser le travail ?
Dans les coffres-forts de la banque
Ce qu'il a crée s'est fondu,
En décrétant qu'on le lui rende,
Le peuple ne veut que son dû.
Les rois nous saoulaient de fumée,
Paix entre nous, guerre aux Tyrans
Appliquons la grève aux armées,
Crosse en l'air et rompons les rangs !
S'ils s'obstinent ces cannibales
A faire de nous des héros,
Ils sauront bientôt que nos balles
Sont pour nos propres généraux.
Ouvriers, paysans, nous sommes
Le grand parti des travailleurs,
La terre n'appartient qu'aux hommes,
L'oisif ira loger ailleurs.
Combien de nos chairs se repaissent !
Mais si les corbeaux, les vautours,
Un de ces matins disparaissent,
Le soleil brillera toujours.



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