samedi 19 octobre 2019

Virus Pigloù et son père Luis proposent de découvir les aventures de Julien BARON de Didier Trumeau


Julien Baron est enquêteur privé, officiant dans une ville de province ayant pour nom Vorzine. Ne cherchez pas sur une carte, vous ne la trouverez pas. Baron y a fait son trou depuis quelques années et, du fait de sa fonction de détective tenace et maniaco-consciencieux, sa seule obsession demeure une quête farouche de la vérité.  Le sujet du livre de Didier Trumeau aurait pu être une enquête comme tant d’autres, même si chaque enquête est différente. Car la méthode est toujours identique : on découvre un meurtre, on examine, on interroge, on suspecte, on déduit, on élimine, on trouve (ou pas) la clé de l’énigme et on tente d’arrêter le suspect pour le châtier.  Un roman policier contient beaucoup de clichés et de personnages stéréotypés ; c’est peut-être ce qui fait, en partie, le charme et le succès de ce genre littéraire dans lequel on peut rencontrer des héros mais également beaucoup de laissés-pour-compte et de antihéros. Bien souvent, l’histoire est un prétexte ; et parfois, le héros n’est pas celui que l’on croit.  Dans le cas du roman de Didier Trumeau, des indices peuvent être déjà relevés dans les pages précédant cette présentation. Et si la vérité ou le propos était ailleurs ? L’auteur n’aurait-il pas, lui aussi, des vérités à dire ?

Et si Vorzine existait vraiment ? Si ce nom propre n’était tout simplement qu’une anagramme ? Et si c’était Vorzine l’héroïne du livre ? 

Robert ROMAN  

samedi 5 octobre 2019

A.A.A h ! MOBY D( )CK

SCA.A.ANDA.A.ALEUX !

NOUS avons, incognito, suivi Christian-Edziré Déquesnes
durant son escapade de 2 jours à Amiens où,
au lieu dit l'Accueil Froid, il a donné une lecture-performée 
(avec la complicité d'une chamanique créature inuit bleue, 
d'un saxophoniste déjanté comme un guerrier gallois 
et d'un joueur de trombone coiffé comme un indien wishram,)
sous le regard bienveillant d'Ivar Ch'Vavar ? mais c'est scandaleux ! car pour conclure sa prestation Christian-Edziré Déquesnes
à jeter en pâture à la face du public médusé, des brides du final, en picard mental !?, du roman à venir 
MOBY DARK de Jacques Cauda
à paraître en fin d'année 2019 aux éditions
L'âne qui butine... 
...mais le pire c'est qu'un malheur n'arrivant jamais seul,        il est rentré le lendemain à Douai avec un 45 tours de Frankie Laine
chantant Moby Dirk pour démontrer à JAAAck (Jacques Cauda)
qu'il ne cesse pas de penser à lui. Bref ! C'est scandaleux d'inviter, de laisser un personnage pareil s'exprimer
dans le cadre d'un festival culturel
et même si ce dernier se nomme Ectoplasme.

Ceci est un communiqué de Virus, et son père Luis, Piglou.


p.s : Suite à cette escapade ectoplasmique de Ch'Edziré, d'autres révélations sonores et trébuchantes sont à venir mais d'ors et déjà nous pouvons vous signalé que le n°1 d'un fanzine qui répond au nom d'Ectoplasme était publié et distribué gratuitement, cela aussi c'est scandaleux ! à la suite de la lecture-performée et qu'à l'intérieur, comme par hasard, on y retrouve Jacques Cauda, Ivar Ch'Vavar et Christian-Edziré Déquesnes... affaire à suivre donc !

Ci dessous la preuve que nous ne racontons pas des carabistouilles !